Rêverie Carcasse

De Léa Carton de Grammont

DU 21 AU 31 OCTOBRE 2021

TOUS LES JOURS 19H30
SAM. ET DIM. 16H30
RELÂCHE LE MARDI

À PARTIR DE 11 ANS
DURÉE : 1H

« Ça monte, ça redescend. Ça monte, ça redescend. Ça prend son temps. Ça monte, ça redescend. Ça respire. Ça monte, ça redescend – sans savoir que ça existe, juste, ça respire. Ça dure comme ça. Ça respire. Tant que ça existe, ça respire ».

C’est l’histoire d’une femme qui essaie de vivre dans son corps. Et son corps lui échappe. Son corps l’agite : il digère, il bat, il respire. Il passe son temps à devenir quelqu’un d’autre : soudain le voilà grand, ou pubère, ou vieux.

Au début de la vie, on ne fait pas la différence entre soi et le monde. On croit qu’on est tout. Après, on apprend. On est DANS quelque chose.

 Rêverie Carcasse déploie la relation entre un corps et celle qui l’habite. Tour à tour costume, marionnette ou paysage animé, le corps s’incarne dans la matière, pour rendre sensibles des questions existentielles :  C’est quoi, être un corps ? Que sommes-nous d’autre ? Et comment s’y reconnaître ?


Coproduction : Théâtre des Clochards Célestes
Avec le soutien la Ville de Lyon, du 5ème Studio européen des écritures pour le théâtre, de la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon – Centre National des écritures du spectacle, du Labo 71, de la Fédération, du Théâtre Nouvelle Génération – CDN Lyon, et la participation de artistique de l’ENSATT.


Rencontre avec l’équipe à l’issue de la représentation : jeudi 28 octobre 2021


PTUM CIE

 

JEU ET COLLABORATION
DRAMATURGIQUe

Alice Vannier

Mise en scène

Léa Carton de Grammont

Scénographie et régie plateau

Lucie Auclair et Aviva Masson

Costumes

Cécile Laborda

CRéATION LUMIèRE

Hugo Fleurance

Régie lumière

Anne-Sophie Mage

PTUM Cie / Prends-toi un mur si t’es vivant 

PTUM envisage ses spectacles comme des récits scéniques. Leur point de départ est un problème (souvent métaphysique), esquisse d’histoire à l’usage d’acteurs et de matières. L’écriture part de ce qu’elle croit qu’ils sont et qu’ils débordent toujours. C’est pourquoi elle ne précède pas les spectacles mais se constitue avec eux. Au centre de l’exploration se tient la matière : jeu, costume, scénographie et machinerie s’en emparent tour à tour pour la rendre vivante.